Du courage, du courage, du coura-age.........
Il est temps d’en revenir à la maison. Quoique le peu d’activités de bricolage auxquelles je me livre ces derniers temps me laisse tout loisir de me laisser aller à quelques digressions dans le style de mon précédent post. Ca change un peu (et en plus ça occasionne une flopée de très gentils commentaires…).
Vous vous doutez bien que ce n’est pas dans l’unique but d’être élégante que j’avais revêtu ma super combi de compétition. Je me suis en fait livrée à un peinturlurage en règle de l’entrée arrière.
Il est en effet essentiel que cette pièce soit jolie et lumineuse car c’est la vue que nous avons depuis la porte de la cuisine. C’est donc avec grand soin que j’ai entrepris de la relooker.
Avant de commencer, j’ai du lessiver les lambris (activité passionnante s’il en est) encore gravement empoussiérés par les récents travaux de démolition.
J’ai ensuite étalée la peinture comme j’ai pu (voir ici…) et après moult efforts et courbatures (ah, peindre un plafond en lambris…), j’ai obtenu le résultat suivant :
autrement dit, c’est aaaaaaaaaaa-ffreux, immonde, dégueu ou tout ce que vous voulez (et je ne parle pas des coups de pinceaux forcément visibles après une seule couche sur un support aussi foncé).
Pour avoir un maximum de clarté, j’ai en toute logique opté pour un blanc pur. Hé bien, ce fut une erreur. La lumière restituée est très froide, style «tiens il a neigé». Le blanc jure abominablement avec le carrelage terre de Sienne. Bref, j’ai tout cochonné telle une véritable souillon.
Mais qu’à cela ne tienne ! Je ne vais pas m’en faire pour si peu. Car j’ai acheté une jolie peinture couleur lin qui celle-là devrait être du plus bel effet.
Encore faut-il que je trouve assez de courage pour passer la deuxième couche… Là j’avoue que j’ai un peu abandonné mon chantier couvert de bâches, de vieux journaux, de pinceaux séchés, de pots de peinture vides aux trois quarts… et de ma combi.
Waterloo morne plaine…