La saison des amours. Ses fruits
(Si tu trouves un titre plus cute, tu me le dis, parce que là je fais fort je trouve)
Des bébés sont nés à la Vilaine Maison, d'autres ne devraient pas tarder à montrer le bout de leur petit nez rose bec :
à venir : les canetons...
Comme je l’indiquais dans le billet précédent, la tronçonneuse est passée à un mètre de la cane, tranquillement occupée à couver. Elle a également évité de justesse une pointure 42 (non pas la mienne, z'êtes gentils) qui l’avait confondue avec le feuillage. La dame colvert arbore en effet, au contraire de son chatoyant mari, les couleurs d’un GI en pleine opération tempête du désert. Ainsi, si la photo n’est pas très nette c’est parce qu’elle est prise de loin. Je ne m'approcherai pas plus, la pauvrette a bien mérité qu’on lui fiche une paix Royal.
Les mésanges...
Cette petite maison n'est certes pas très belle car construite avec... (allez devinez...) des chutes de lambris ! (même dans les arbres on a trouvé du lambris !). Elle se trouvait dans le pin, avant d’en choir par un jour de grand vent. Nous l’installâmes donc à proximité de la maison, sans grand espoir que les oiseaux viennent picorer à deux mètres de la fenêtre de la cuisine. Elle semblât pourtant plaire d'emblée à un couple de mésanges qui décidât d'en faire son sweet home et même d'y installer sa petite famille. Nous assistons donc au ballet nourricier des deux tourtereaux qui vont et viennent du matin au soir apportant la becquée aux oisillons qui pour l'instant ne se sont pas encore montrés.
C'est pas beau la campagne des fois quand même ?
PS : un message à caractère subliminal s’est caché dans cette note, sauras-tu le trouver ?